mardi 11 janvier 2011

NOURRISSON TROUBLES DU SOMMEIL


Certains nourrissons présentent des troubles du sommeil.

CAUSES
Il faut savoir que les difficultés d'endormissement du bébé à souvent son origine dans l'histoire personnelle des parents.
( deuils, séparations)
Pour les plus grands enfants le refus d'aller se coucher est souvent le fait d'enfants hyperactifs, sans limites, véritables enfants-roi, tout puissant.
Cela est souvent en rapport avec des conflits sous-jacents dans le couple.
L'enfant odieux le soir, reproduit souvent le comportement parental ( disputes)
Il faut alors déculpabiliser l'enfant en lui montrant qu'il n'est pas responsable de la mésentente de ses parents.
Il faudra donc apporter à cet enfant un cadre sécurisant.

QUE FAIRE
Entre 3 et 10 mois l'endormissement-starter du sommeil est un moment important.
L'enfant doit être bien dans son corps et dans sa tête.
Il reste important de caliner, bercer, même au cours de la journée, lors des changes ou des bains, par exemple.
Cela permet à l'enfant de prendre conscience de son corps, qui est bien séparé de celui de sa mère, ce qui permettra une séparation sans histoire, lors du début du sommeil .
Les conditions d'endormissement doivent être rassurantes pour que, peu à peu, l'enfant se désintéresse, pour pouvoir s'endormir
Le "doudou" ou la tétine peuvent faire partie de ce qui rassure.
Un certain rite doit être respecter :
Berceuse, chanson, histoire lors que l'enfant est plus grand, doivent respecter ce rite de début du sommeil
Il reste déconseillé de laisser une lumière, même faible, dans la chambre de l'enfant qui doit rester une chambre personnelle.
Il est indispensable dès 4 heures de l'après-midi de ne plus solliciter l'enfant qui doit dès ce moment commencer à trouver une atmosphère calme et reposante
Pour les plus grands éviter la télévision à partir de cette heure et éviter de les laisser regarder des films ou la violence est importante car cela marque énormément leur jeune esprit et ils repassent cela dans leur tête au moment de l'endormissement, qui de ce fait est très troublé.
Certes il faut parler de cela à votre médecin qui pourra juger de l'utilité d'une consultation spécialisée chez un psychiatre ou un psychothérapeute.

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